La nuit du faune (Romain Lucazeau)
Un de ces livres recommandés par le podcast C’est plus que de la SF. Et du coup, pour pouvoir preparer le lien vers l’épisode qui va bien, je me rends compte que le livre a passé un 1.5 an sur mes étageres a différents états d’avancement.
C’est de base un voyage initiatique. Au sens premier des deux termes. L’aspect SF vient du fait que le premier personnage que l’on suit n’est pas humain et il n’est pas certains que les autres personnages humanoides rencontrés au fil du voyage aient le moindre lien avec l’humanité. Oh, et que le dit voyage se passe a l’échelle intergalactique.
Comme dit plus haut, le livre a trainé sur mes etageres pendant plus longtemps qu’il ne semble bon. C’est en partie du au fait que j’ai mis énormément de temps a m’investir dans l’histoire. C’est aussi parce que j’ai attaqué le livre a un moment ou tous les livres me tombaient des mains.
Le mot de la fin
Oui, la conclusion de cette revue arrive abruptement. Je ne sais toujours pas ou me placer avec ce livre. Entre voyage initiatique et changement d’échelle continuel. L’histoire est relativement prenante. Certainement correctement écrite. Mais je n’ai eu d’accroche particulière a l’histoire, aux personnages ou aux enjeux.
L’auteur essaie de présenter son livre comme un fable philosophique. Mouais, la clef de lecture c’est que son histoire est une série de poupées russes dont on part du centre. Wow, such philosophie.
Meh.