Pioché parmi d’autres livres sur l’éducation en traînant dans une librairie militante à Paris l’an dernier.

De quoi ça parle ?

C’est un recueil de textes publiés en français à Moscou en 1958. Organisés ou réorganisés par grands thèmes (Ses liens avec Lénine, sa vision de l’éducation communiste, de la jeunesse, ses orientations pour les éducateurs), les textes couvrent un large pan de son action et de ses idées.

Un peu plus

Dans L’ensemble, j’ai surtout l’impression qu’elle reste dans l’ombre de Lénine, son mari. Son nom est invoqué bien trop souvent à mon goût. Signe des temps ?

Sentiment que c’est plus performatif qu’instructif / que le cœur du texte est ailleurs et que la sélection compte surtout des textes qui font mention ces textes de référence.

Surtout accroché à deux chapitres de la dernière section, sur les autodidactes, l’apprentissage. Moins sur le reste.

Le mot de la fin

Je ne sais pas si c’est parce que je n’ai pas l’habitude des livres russes, si c’est parce que c’est mon premier livre sur l’éducation en général, si c’est la sélection de texte ou l’auteure. Mais dans l’ensemble, c’était beaucoup trop lisse pour moi.