Plus qu’interpelé par le titre que je vois passer de temps à autre depuis plus de 15 ans maintenant. Vivant au Japon, forcément, ça m’accroche le regard.

De quoi ça parle

Plus qu’un roman, un recueil de … nouvelles ? Légendes urbaines ? Certaines connectées ou poursuivies sur plusieurs chapitres, certains personnages qui font des caméos dans d’autres histoires, le tout raconté par le balayeur d’un aéroport qui, bien qu’il s’en défende à grand cri, passe plus de temps à raconter ces histoires qu’à balayer.

Mais encore

L’anecdote sur le Japon n’est au final que ça, une anecdote, noyée sous un machisme, un orientalisme voire racisme crasse. L’auteur arrive à présenter le balayeur comme un bon bougue mais il finit par me hérisser le poil. Le retournement de situation de l’épilogue est intéressant mais au final sans plus vu comme l’accumulation des légendes urbaines des chapitres précédents fini par lasser et casser tout suspense.

Le mot de la fin

Allez voir ailleurs, ce livre n’existe pas.